La Tolentino

Mi foto
Guadalajara, JALISCO, Mexico
Creativa Plastica. Artista Emergente. Venta de Arte.

jueves, 6 de enero de 2011

Reseña De Exposicion Individual.

SECTEUR 54

Imagenes de Ciclopes Delineandose.


Ce qui est bien de voyager à l’étranger, c’est de découvrir des nouveaux styles et artistes.
Je suis présentement au Mexique, dans la ville de Guanajuato. Cette ville coloniale et universitaire a beaucoup à offrir. Je suis entrée pas hasard dans ce petit espace, long et étroit, à l’apparence d’un passage secret, donnant le ton à l’exposition de Gabriela Tolentino, sa première à Guanajuato.
Ayant 60 expositions solos à son actif, elle nous propose sa vision personnelle des relations hommes/femmes. Thème épuisé pensez-vous, classique sujet de conversation de toutes vraies filles qui se respectent, l’artiste semble adopter une mentalité «de gars». Pour elle, l’amour n’existe pas, elle préconise plutôt les rapports érotiques. Alliant le grotesque et le cirque, ses toiles affiches des personnages en chair et contorsionnés. Les corps féminins n’ont pas à être interprétés comme objets de désir, mais plutôt comme source de plein pouvoir, en pleine possession de ses moyens, ayant le contrôle de la situation.
L’œuvre que j’ai le plus aimé est sans aucun doute « Muestra de sueno » (Échantillon de rêve), ou le corps sectionné, orné d’une queue de diable, représente pour moi le concept de femme fatale, celle que l’on peut regarder pas qu’il est peu recommandé de fréquenter. La prédominance du bleu accuse une atmosphère de froideur avec une touche de passion, suggérée par le rouge. Les lignes fines augmentent la féminité des représentations, les rendant agréables èa regarder.Gabriela Tolentino exposera pour la première fois à New York en juin et j’espère que son style mexicain sera séduire les Nord-Américains.
Je lui souhaite bonne continuation.
Critique d’exposition, par Sabrina Roy.


http://www.secteur54.com/dossiers-tolentino.html

No hay comentarios:

Publicar un comentario

Deja tu comentario libre de toda censura.